L’expression « avoir un appétit d’oiseau » signifie « manger peu » (un bon conseil pour le dîner de Réveillon du nouvel an ?) et fait souvent penser à un petit oiseau du genre moineau ou mésange…
Ces oiseaux donnent en effet l’impression de manger peu, eu égard à leur petite taille. En temps normal, les oiseaux mangent pourtant à leur faim, comme l’hirondelle rustique, capable de rapporter plus de 70 insectes dans une seule boulette alimentaire destinée aux oisillons.
Encore mieux, le rouge-gorge est quant à lui capable de capturer environ 700 insectes, correspondant ainsi à un poids total supérieur à son propre poids !
A contrario, un grand oiseau comme le vautour fauve est capable de jeûner plus de deux semaines tout en étant capable d’ingurgiter un kilo de viande en une seule fois… Alors, « appétit d’oiseau » me dites-vous ?
Le chevreuil est le plus petit des cervidés européens.
Excellent coureur, sauteur et même nageur, le chevreuil est un animal à la fois craintif et curieux que l’on rencontre de préférence au lever et au couché du soleil, le plus souvent en lisière de forêt. Il n’est pas rare cependant de le voir en pleine journée en bordure de route ou au beau milieu d’un champs. Son comportement change parfois à certaines période de l’année, notamment pendant le rut et pendant la période de chasse.
Le Chevreuil possède de grandes oreilles qui lui permettent de saisir les sons à une grande distance. Son odorat, très développé, compense sa vue relativement moyenne : la vision est excellente lorsqu’il s’agit de repérer des objets en mouvement, mais beaucoup moins fiable pour les objets immobiles. Seul le mâle, appelé brocard (à un an le mâle porte des « broches » d’où le nom de brocard), porte des bois qui tombent chaque année au mois de novembre et qui repoussent progressivement. Ils sont recouverts d’une peau appelée « velours » qui se détache par la suite.
Les mâles sont souvent solitaires, les femelles appelées « chevrettes » accompagnent leurs faons (1 ou 2, parfois 3) pendant un an. L’accouplement a lieu au cœur de l’été. Le mâle fait alors beaucoup entendre son aboiement. La gestation de 9 mois et demi commence 4 mois après l’accouplement et les naissances ont lieu au printemps.
Lorsqu’ils naissent, les petits faons sont tachetés et n’ont pas d’odeur corporelle. Cette particularité n’est pas un hasard. Le faon attire un certain nombre de prédateurs principalement le Renard. Lorsque la chevrette perçoit un danger, elle frappe le sol avec son sabot. Ce bruit caractéristique déclenche chez le faon un réflexe naturel qui lui indique de se coucher sans bouger. Par ailleurs, le pelage du faon se confond parfaitement avec le reflet du soleil qui passe au travers des feuilles le rendant difficile à localiser en sous bois. Mais la nature ne s’en est pas tenue à cela. Les prédateurs, s’ils sont trompés par la vue et l’ouïe sont rarement abusés par l’odorat. C’est la raison pour laquelle le petit ne dégage pas d’odeur corporelle durant les premières semaines de sa vie.
Le Chevreuil a besoin d’abris et d’une nourriture de grande qualité. Il se nourrit surtout de pousses et feuilles d’arbres, ronces, framboisier, lierre, noisetier, secondairement de plantes herbacées. Il consomme aussi des champignons, glands, faines et plantes cultivées dans une proportion voisine de 3 à 4 kg par jour. Le Chevreuil choisit ses aliments avec soin et en prend les parties les plus nutritives. Le cycle d’alimentation et de rumination est de une heure en été et de deux heures en hiver car à cette saison, la proportion de ronces est plus forte et la morphologie de son tube digestif change.
Le cri d’alarme des deux sexes ressemble à s’y méprendre à un aboiement particulièrement fort et souvent répété par le brocard. En période de rut, la femelle lance un sifflement, le mâle un cri grinçant. Le mâle frotte ses glandes frontales et jugales sur des branches, des buissons, et la sécrétion des glandes interdigitales marque chaque pas.
Les odeurs renseignent sur le sexe, l’âge de l’individu et sa position hiérarchique. La sécrétion des glandes pré orbitaires (larmier) et préputiales est également utilisée.
En tant qu’herbivore, le chevreuil contrôle la densité de la végétation au sein de son écosystème, soit par broutage, soit par les frottis et les blessures qu’il occasionne aux jeunes arbres pour marquer son territoire.
Il contribue à l’entretien de zones de clairières ou de milieux semi-ouverts et parfois de corridors intra- ou inter-forestiers. Comme pour d’autres animaux, son piétinement contribue à enfouir des graines, ou au contraire mettre au jour des graines anciennement enfouies, leur permettant de germer. S’agissant d’un animal léger, il n’est pas réputé pour endommager les sols.
Dans un système naturel, il est lui-même contrôlé par ses prédateurs et par les maladies et le parasitisme (tiques) qui se développent plus rapidement quand ses populations se densifient. Comme de nombreux animaux, il joue un rôle de diffusion pour certaines espèces (dont les parasites) en transportant des graines et diverses propagules (spores de champignons, œufs, larves ou petits animaux) dans son pelage, sous ses sabots et dans son tube digestif.
Enfin, dans les forêts où les prédateurs carnivores ont survécu (loups, lynx, renard roux, et les gloutons ), il constitue une proie importante pour ces derniers. En liberté, le chevreuil peut vivre jusqu’à 15 ans (en moyenne de 7 à 8 ans).Quand il meurt de mort naturelle ou des suites de blessure de chasse, son cadavre reste une source d’alimentation pour les invertébrés et animaux nécrophages.
Ses ossements et surtout ses bois peuvent être rongés par d’autres animaux (écureuil en particulier) qui semblent y récupérer des sels minéraux (notamment dans les régions naturellement acides et pauvres en calcium).
« Jackson » est devenu l’éléphant de mer le plus célèbre de la planète. Ce jeune mâle, qui vit dans la zone désertique de la Terre de Feu, à l’extrême sud du Chili, a parcouru 29000 km en un an, soit un tout petit peu moins qu’un aller-retour Paris-Papeete (Tahiti). Jackson, comme l’ont baptisé les chercheurs de la Wildlife Conservation Society (WCS), une organisation non gouvernementale internationale fondée en 1895 dont l’objectif est la préservation de la nature, devient ainsi le mammifère ayant parcouru la plus longue distance sur 12 mois.
Quand il s’agit de manger, l’éléphant de mer est prêt à parcourir de très grandes distances. Ainsi, depuis la plage où les chercheurs de la WCS ont équipé Jackson d’une puce électronique en décembre 2010, ils ont pu constater que l’animal s’était éloigné de 1750 km le long de la côte chilienne et jusqu’à 650 km vers le large, naviguant entre les fjords de cette zone proche de l’Antarctique. Un très vaste périmètre de chasse qui n’a d’égal que l’appétit légendaire de cette espèce pour le poisson et le calamar. Après son périple d’un an, Jackson est retourné sur cette plage du Pacifique sud où la WCS l’avait déniché. Il va y retrouver ses congénères, faire sa mue et peut-être se reproduire.
Les éléphants de mer ont la réputation d’être endurants. Des recherches remontant au milieu des années 1990 ont déjà démontré que les cousins arctiques de Jackson, qui vivent dans la mer du Nord, sont capables de parcourir plus de 20000 km par an. Alors pourquoi cette nouvelle expérience? La WCS suit les déplacements des éléphants de mer car « ils sont des indicateurs potentiels de la santé des écosystèmes marins et permettent de montrer comment le changement climatique influe sur la répartition des espèces et de leurs proies dans les eaux patagoniennes ». Au-delà, Caleb McClennen, directeur des programmes marins de la WCS, précise dans un communiqué que le périple de Jackson « va aider à définir des zones protégées dans la région, assurer que les activités piscicoles (NDLR : particulièrement importantes dans cette région du globe) sont gérées de façon à ne pas nuire aux espèces marines telles que l’éléphant de mer du Sud ».
Savez-vous que les oursons d’eau ou tardigrades peuvent survivre dans l’espace ? Que les pics harponnent leur proie avec leur langue ? Que la plus petite antilope est de la taille de la plus grosse grenouille ? Ou encore, que les ornithorynques peuvent détecter les champs électriques et qu’il existe des fourmis esclavagistes ?
Le livre « Les Animaux en plus de 300 Curiosités », est une véritable balade entre l’inconnu, le mythe, le surréalisme et le presque incroyable.
Un livre captivant que j’ai lu de bout en bout en m’arrêtant sur les quelques 75 encadrés précisant des records plus incroyables les uns que les autres (les plus rapides, les plus lents, les plus grands, les plus petits…).
J’ai apprécié le fait qu’au-delà de l’anecdote, ce livre fournit des informations nouvelles remettant en question certaines vérités sur les animaux.
Une fois encore le destin de l’Homme est lié à l’animal : la tradition de la petite souris veut que lorsqu’un enfant perd une dent de lait, il place sa dent sous son oreiller avant d’aller dormir. Le matin l’enfant trouve une pièce de monnaie à la place de la dent.
Cet « échange » réalisé par un adulte est une sorte de rite initiatique indiquant à l’enfant que le monde qui l’entoure sait qu’il vient de franchir un stade important : il entre dans l’âge de l’adolescence car son corps change…en d’autres termes, le rite de la petite souris l’aide à grandir.
L’origine la plus vraisemblable de la Petite souris vient d’un conte français du XVIIe siècle de la baronne d’Aulnoy : La Bonne Petite Souris. On y parle d’une fée qui se transforme en souris pour aider une reine à vaincre un méchant roi, en se cachant sous l’oreiller du roi puis en lui faisant tomber toutes ses dents.
Par ailleurs, suivant une ancienne croyance, lorsqu’un animal mangeait une dent de lait, la dent permanente prenait les caractéristiques de l’animal ; on donnait parfois les dents de lait aux rongeurs dans l’espoir que les enfants obtiennent des dents plus dures et plus pointues.
D’autres croyances sur la fameuse « petite souris » sont à découvrir ici.
La France a ajouté cette semaine sa voix aux critiques internationales portées depuis le début de la semaine contre le Japon, après l’ouverture par Tokyo de la chasse à la baleine, appelant ce pays à y renoncer.
« La France déplore la reprise de la campagne de chasse à la baleine dans l’océan Austral par la flotte japonaise Jarpa II, en dépit du moratoire adopté par la Commission baleinière internationale en 1982 et qui s’applique depuis 1986 à l’égard du Japon », a affirmé le ministère français des Affaires étrangères. « Fidèle à son positionnement en faveur d’une stricte protection des baleines, la France souhaite que le Japon mette un terme à ces opérations de chasse à grande échelle… »
Les USA, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et les Pays-Bas avaient fait part dans une déclaration commune de leur déception après l’ouverture par le Japon de la chasse à la baleine. Le Japon organise des campagnes de chasse à la baleine au nom de la « recherche scientifique » sur les cétacés, exploitant une tolérance de la Commission baleinière internationale (CBI) pour ce type de pêche – La CBI interdisant toute pêche à visée commerciale depuis 1986. Les pays protecteurs des baleines et les défenseurs de l’environnement dénoncent cette pratique comme une chasse commerciale déguisée.
Décidément…entre la catastrophe de Fukushima et la chasse à la baleine, le gouvernement japonais n’est pas enclin à respecter l’environnement en général !
La réputation de voler les objets brillants et son habitude à dévorer les œufs et les poussins d’espèces plus petites fait que la pie est souvent considérée comme un hôte indésirable dans les jardins. Mais elle n’est pourtant pas la seule à se comporter ainsi et avant de condamner la pie pour son pillage de nid d’autres espèces, il faut savoir que le chat domestique fait beaucoup plus de ravages dans les populations d’oiseaux et qu’on a même vu des mésanges et des merles en faire autant. De plus, son propre nid est souvent pillé par les corneilles.
La pie est un bel oiseau : son plumage noir et blanc et sa longue queue étagée à reflets métalliques sont caractéristiques. Douée d’une certaine intelligence, la pie est très vigilante et craintive. Ses cris rauques et ses jappements sonores la signalent même cachée dans la frondaison des arbres qu’elle aime à fréquenter : peupliers, bouleaux et robiniers principalement. Son cri résonne loin, et il est souvent employé pour donner l’alarme en signalant souvent la présence des chats, de rapaces ou d’autres carnivores prédateurs.
La pie ne visite les mangeoires que lorsqu’elle n’est pas dérangée, sinon elle se nourrit sur le sol et dans les haies où elle capture des insectes, des escargots, des cloportes, des araignées, des graines et des fruits, des oisillons, des animaux morts par blessure et des petits rongeurs.
La pie marche au sol en sautillant gaiement. Son nid sphérique surmonté d’un dôme est facilement repérable et reconnaissable. La pie a un vol faible mais sa queue extensible lui permet d’utiles acrobaties en cas d’agression.
Très sociables, les pies vivent toute l’année en couple ou en petits groupes. Les nouveaux couples de pies essaient de s’installer dans un territoire, mais les propriétaires s’efforcent de les chasser. Des jacassements bruyants accompagnent les bagarres que font naître ces rivalités. Comme les autres membres de la famille des corvidés, la pie bavarde a appris à vivre en compagnie des hommes, tout en restant sur ses gardes et ne tolérant pas une approche trop décidée.
Contrairement à une opinion commune, la population des pies est globalement en régression. Accusée de bien des maux, elle reste officiellement classée en France parmi les animaux nuisibles et à ce titre « chassable ». De fait, elle est tirée et piégée à la campagne où l’emploi massif des produits phytosanitaires détruit par ailleurs ses ressources alimentaires (notamment insectes et petits vertébrés) voire l’empoisonne directement. On estime que plusieurs milliers de pies sont ainsi victimes de persécutions directes et indirectes dans notre région comme ailleurs.
Une femelle macaque a chipé l’appareil de David Slater photographe britannique animalier alors que ce dernier venait photographier les singes dans un parc national de la province de Sulawesi en Indonésie.
Le photographe raconte qu’une femelle a profité d’un moment d’inattention pour prendre le boîtier.
« Les singes étaient d’abord très intrigués par leur reflet dans l’objectif, la première fois qu’ils se voyaient. Ils faisaient beaucoup de grimaces en montrant leurs dents. Ils étaient très espiègles sautant sur tout mon équipement. Ils semblaient prendre des poses lorsque l’un d’eux a appuyé sur le déclencheur. D’abord le bruit leur a fait peur, ils ont fui puis sont revenus. Un des singes a pris des centaines de photos mais très peu sont nettes ».
Rappelons ici que le Macaque à Crête ou Macaque Nègre est un primate pacifique, extrêmement rare et en danger critique.
Au hasard d’une promenade en forêt, le nez légèrement en l’air, vous avez déjà certainement croisé ce petit animal roux en train de fureter ou de grimper aux arbres. Sa grande agilité, son intelligence et ses capacités d’apprentissage lui permettent de s’adapter et de profiter rapidement de toute nouvelle opportunité !
Seul l’écureuil roux existe dans une large partie des régions boisées de France. Des pays comme la Grande-Bretagne hébergent une majorité d’écureuils gris, un sciuridé importé d’Amérique du Nord, qui détourne à son profit les ressources alimentaires et est porteur d’un virus mortel pour l’espèce rousse. Dans une population d’écureuils roux, la mortalité est estimée à 70 % avant 1 an. La survie est meilleure par la suite (74% de survie annuelle chez les adultes).
On trouve l’écureuil roux principalement dans les forêts de conifères, mais il est aussi présent dans les forêts mixtes et de feuillus (comme ici autour du Relais du Vert Bois). Plus localement, il fréquente parfois les haies épaisses, les parcs et les vergers, mais son caractère méfiant lui fait préférer les zones les plus densément couvertes…
Il a un régime alimentaire essentiellement végétarien (jeunes pousses, fleurs et bourgeons, baies et fruits, champignons, noix, noisettes et glands) mais il se comporte souvent comme un véritable omnivore, ne dédaignant pas à l’occasion quelques insectes, limaces, oeufs et plus rarement des oisillons. Grand amateur de pommes de pins, l’écureuil épluche les cônes pour consommer les graine et pignons. Il sait faire des réserves pour l’hiver qu’il n’hésite pas à cacher dans le creux d’un arbre ou dans des nids abandonnés.
L’écureuil est un mammifère essentiellement diurne bien plus facile à observer que d’autres habitants de la forêt comme la martre ou le blaireau). Il passe la nuit bien à l’abri dans son nid sphérique (appelé « hotte »), composé de mousses et branches diverses. L’écureuil roux vit seul, sauf pendant la période de reproduction qui débute vers la mi-janvier, et qui donne lieu a une seule portée par an de 3-4 petits (de mars à mai). Il doit prendre garde à la martre, la belette et le renard qui le chassent principalement en hiver, sans compter les buses, éperviers et crécelles qui ne dédaignent pas l’ajouter à leur menu…
Surprise ce matin… un couple de cygnes est arrivé sans crier gare au Relais du Vert Bois. A force de les voir « orner » les pièces d’eau, on a oublié que le cygne « tuberculé » vole aussi bien que ces cousins sauvages que sont le cygne siffleur et le cygne de Bewick, présents en France en petit nombre au coeur de l’hiver.
Son plumage immaculé, sa taille imposante et son allure majestueuse ont attiré l’attention sur le cygne, animal archétypal des parcs romantiques. Oiseau de lumière en Sibérie, compagnon d’Apollon en Grèce et emblème du courage en Extrême-Orient, il a été aussi, pour les alchimistes, symbole du mercure. L’aspect culturel du cygne est également très riche en Europe. Peut-être l’histoire d’un cygne la plus connue est-elle celle de la fable Le Vilain Petit Canard. L’histoire est centrée sur un vilain canard qui est maltraité jusqu’à ce qu’il rencontre des cygnes. Ceux-ci l’accueillent et le canard se transforme en un magnifique cygne blanc. Les cygnes sont souvent un symbole de l’amour ou de la fidélité car ils entretiennent des relations monogames de longue durée. De nombreuses œuvres mettent en scène des cygnes, comme Lohengrin ou Parsifal.
Les cygnes se nourrissent dans l’eau et sur terre. Ils sont presque exclusivement herbivores, même si un petit nombre d’animaux aquatiques peut être mangé. Leur régime alimentaire est composé de racines, de tubercules, de tiges et de feuilles de plantes aquatiques submergées.
Les espèces de cygnes de l’hémisphère nord ont le plumage d’un blanc pur, mais ceux de l’hémisphère sud mélangent noir et blanc. L’espèce australienne du cygne noir (Cygnus atratus) est totalement noire, excepté le blanc de ses plumes en vol. Les bébés de cygnes noirs sont de couleur gris clair. Les cygnes à cou noir, vivant en Amérique du Sud, sont blancs mais ont un cou noir. La couleur du bec varie : les quatre espèces subarctiques ont des becs noirs avec des teintes de jaune, alors que toutes les autres espèces ont des becs à motifs rouge et noir.