LA MOULE DE BARFLEUR

« A la Normande » avec de la crème d’isigny, « à la Basque » avec du piment d’Espelette, « en nage barfleuraise » aves ses légumes nouveaux ou même « à l’indienne » avec du curry…la moule de Barfleur sait étendre son registre culinaire pour plaire à chacun…

Si elle se montre aussi conciliante, prête à tenter toutes les alliances, c’est certainement en raison de sa qualité exceptionnelle.

Barfleur, l’un des plus beaux villages de France, donne aussi son nom au plus important gisement de pêche français de moules sauvages, à l’Est du Cotentin.

Baignées en permanence dans des eaux pures et riches, nettement plus charnues que les moules d’élevage, les Moules de Barfleur bénéficient d‘une croissance irréprochable et d’un goût incomparable.

Au XIXème siècle, les moules étaient déjà ramassées sur les rochers du bord de mer aux alentours de Barfleur et c’est au début des années 1960 que démarra la pêche en pleine mer. 

Traditionnellement pêchées par des petits bateaux effectuant des marées très courtes, les Moules de Barfleur sont récoltées jusqu’à 50 m de fond, à l’aide d’une drague. Aussitôt remontées à bord, elles font l’objet d’un tri visant à écarter les moules abîmées et à remettre à la mer les individus de moins de 40 mm, afin de préserver la ressource. Les moules sont ensuite débarquées, dessablées en bassins à terre et retriées, avant d’être conditionnées et expédiées vers les consommateurs.

Peu caloriques, les moules contiennent d’excellentes protéines, très peu de lipides et très peu de glucides. Elles sont riches en de nombreux nutriments nécessaires à notre bonne santé :

- Vitamine B12 : participe à la synthèse des globules rouges et des protéines
- Vitamine E et Sélénium : jouent un rôle antioxydant
- Acide Gras Oméga 3 : contribue à la prévention des maladies cardiovasculaires
- Fer : constituant important de l’hémoglobine du sang
- Iode : participe à la synthèse des hormones thyroïdiennes
- Phosphore : intervient dans les mécanismes de transport et de stockage de l’énergie
- Zinc : joue un rôle actif dans la synthèse des protéines

Si vous aimez cet article, partagez le !

LE JARDINAGE RESPONSABLE VALORISÉ

Organisée par le Comité Départemental du Tourisme des Yvelines à une petite heure du Relais du Vert Bois, la toute première édition de Paroles de jardiniers, une manifestation destinée à sensibiliser le grand public et qui fait la part belle aux échanges entre jardiniers et visiteurs, se tiendra du 8 au 30 septembre prochain

Le but ? Partager son goût et surtout son expérience du jardinage et de la botanique. En la circonstance, associations, sites publics et particuliers seront mis à contribution, ouvrant les portes de leurs jardins aux visiteurs (sur réservation et par petits groupes).

Amateurs de jardinage et preneurs d’éco-gestes pourront ainsi bénéficier de conseils et autres astuces précieux pour continuer à le pratiquer dans le strict respect de l’environnement.

Parrainé par Alain Baraton, jardinier en chef des jardins de Trianon, du grand parc de Versailles et du domaine de Marly (Yvelines), l’événement prévoit quelque deux cents animations dans les plus beaux jardins du département dont une visite du domaine du Trianon (le dimanche 9) ; un dialogue avec des experts de la Ferme ouverte de Gally qui distilleront force conseils avisés et feront découvrir des plantes rares et insolites, contribuant ainsi à promouvoir la biodiversité (le dimanche 16 Septembre) ; des visites avec les conférenciers-jardiniers du Potager du Roi (le dimanche 23) et, le 30, une visite du Parc et du Château de Thoiry, célèbre pour son parc zoologique.

Dans des atmosphères empreintes de sérénité, l’idée est d’exalter un jardinage « propre » et de porter l’accent sur la nécessité de préserver l’écosystème. Des événements comme celui-ci, qui plus est dans de tels cadres, on en redemande !

Si vous aimez cet article, partagez le !

PRUNES, RAISINS… UNE PELLICULE BLANCHE TRÈS NATURELLE

Gorgés de sucre, Reines-claudes, Mirabelles, raisins, quetsches, les fruits de l’été sont sur tous les étals !

Mais le plaisir de la dégustation est souvent altéré chez certains esprits chagrins par une légère inquiétude : doit-on se méfier de la fine pellicule blanche qui recouvre tous ces fruits ?

Celle-là même que beaucoup d’entre nous, persuadés qu’il s’agit d’une couche de pesticide, s’évertue à faire disparaître sous l’eau !

Au Relais du Vert Bois et aux différents moments de la cueillette des fruits du verger, nous expliquons souvent à nos visiteurs que la fine pellicule blanche en question est une fine couche de cire naturelle (appelée également « cuticule ») que l’on retrouve sur de très nombreux végétaux. Il s’agit de la « pruine » qui est fabriquée par le fruit lui-même.

Et cette pellicule est par exemple particulièrement visible sur les prunes et les raisins pour la bonne et simple raison que ces fruits en sécrètent plus que d’autres. La pruine protège les fruits des attaques de parasites, empêche l’évaporation et protège de la pluie. Lors de la naissance du fruit, elle a également le rôle essentiel de faire glisser la fleur qui se décroche !

Dans la fabrication du vin et s’agissant du raisin, la pruine va jouer un rôle important en retenant les micro-organismes comme les levures très utiles à la fermentation…

Bien que nous n’utilisions aucun produit phytosanitaire ou de de quelconque pesticide dans le cadre de la « micro-production » des fruits de notre verger, nous rappelons toujours à nos visiteurs que laver les fruits et légumes du commerce n’en demeure pas moins indispensable.

Il s’agit là de règles d’hygiène élémentaires, les fruits et légumes subissant de nombreuses manipulations et traitements en tous genres, sans compter les souillures naturelles chargées de micro-organismes ! Vous limiterez bien évidemment certains de ces risques en achetant des fruits et légumes estampillés « bio ».

Si vous aimez cet article, partagez le !

AVEC SORBONNOU LA SIESTE C’EST SACRÉ

Sorbonnou est notre chien Labrador de 12 ans et…9 mois pour qui la sieste est un moment sacré. Et pas seulement parce qu’il est un vieux toutou : pour tout vous dire il a toujours été un très gros dormeur !

Nous l’avons trouvé en forêt à l’âge de 2 ans après qu’il se soit enfui du balcon d’un appartement sur lequel il était enfermé 365 jours par an ! Nous avons fait de notre mieux depuis lors pour que notre ami puisse pleinement s’épanouir et profiter de tous les meilleurs moments de notre existence, tous ensemble…

Nous sommes aujourd’hui très fiers que notre vieux Sorbonnou prrofite tranquillement et sans stress de ses…18 heures de sieste quotidienne ! 

Si vous aussi vous vivez aux côtés d’un vieux chien, rappelez-vous quelques points importants :
- Les besoins alimentaires des vieux chiens peuvent fluctuer d’un individu à l’autre mais, en règle générale, un chien âgé, naturellement moins actif qu’un jeune, a besoin d’une alimentation moins énergétique (environ 20% de calories en moins). Le système digestif du chien devient moins efficace avec l’âge : c’est pourquoi il convient d’ajuster son alimentation ou de lui faire suivre un régime spécial recommandé par votre vétérinaire.

Pour la petite histoire, nous avons toujours privilégié une nourriture de très grande qualité pour tous nos chiens. Vous seriez surpris de constater à quel point une majorité de marques (y compris celles vendues en cabinet vétérinaire) constitue un ensemble de qualité nutritionnelle relativement très moyenne. Nous utilisons depuis très longtemps les croquettes Origen qui ne contiennent aucun sous-produit animal ou végétal (pas de soja ni gluten), aucun OGM, pas de conservateur chimique et aucun additif de saveur. Fabriquées au Canada et uniquement constituées de viandes fraîches, de légumes, de fruits et d’herbes très spécifiques, les croquettes Origen sont primées mondialement comme meilleure nourriture canine. Origen commercialise une nourriture qui ne vaut pas plus cher que ce que vous pourrez trouver dans les enseignes spécialisées !

- Toilettez le avec délicatesse en utilisant une brosse à poils souples, car sa peau, devenue plus fine, est plus fragile

- Brossez lui régulièrement les dents, afin d’éviter les infections des gencives et le tartre

- Enlevez régulièrement les excès de mucus autour des yeux avec un coton humide et nettoyer ses paupières

- Examinez régulièrement l’intérieur du pavillon des oreilles, pour vérifier qu’elles ne se bouchent pas ou qu’il ne s’y développe aucune infection

- Massez ses muscles et articulations, après la sieste, pendant que votre chien est encore au repos

- Jouez avec lui, mais ne pas le forcer à agir contre son gré, tolérer ses petites manies et montrez vous aussi doux que très patient à son égard.

Si vous aimez cet article, partagez le !

LES ANIMAUX ONT BESOIN DE VOUS

Vous l’avez plus que certainement compris depuis que notre blog existe et qu’il vous fait partager les petits bonheurs de notre vie au Relais du Vert Bois : nous vivons au milieu de bon nombre d’amis à deux et quatre pattes que nous aimons autant que nous protégeons !

Notre action au quotidien est par essence même individuelle. En revanche et à plus grande échelle, la Fondation 30 Millions d’Amis soutient un nombre important de refuges qui recueillent chaque année – dans les meilleures conditions possibles – les animaux abandonnés.

Cette année, les généreux donateurs qui ont aidé la Fondation 30 Millions d’Amis ont rendu possible une aide de plus d’1 Million d’Euros à quelques 205 refuges français. Ce sont respectivement 361 431 et 535 500 Euros qui ont permis la livraison de près de 170 tonnes de nourriture et la stérilisation / vaccination.

859 niches neuves ont été fournies par la Fondation pour offrir tout le confort aux animaux dans l’attente d’une adoption tandis que le restant des dons a été ventilé dans la réfection de certains refuges, la création d’infirmeries et bien sûr les frais vétérinaires.

Tous les refuges aidés par la Fondation 30 Millions d’Amis font l’objet d’une étude approfondie. La Fondation 30 Millions d’Amis n’accorde jamais aucun prêt et n’effectue aucun don en numéraire. Ses aides sont proposées sous forme de livraison de palettes de nourriture, de règlement de factures de soins directement aux vétérinaires, de financement de travaux. La Direction des Services Vétérinaires et les vétérinaires intervenant au refuge sont systématiquement consultés au cours de l’enquête préalable à l’attribution de l’aide.

Parce qu’ils accueillent généreusement nos compagnons à quatre pattes, les refuges sont indispensables. Malheureusement, ils ne perçoivent aucune ressource, ni subvention publique. Pour survivre, ils ne peuvent compter que sur leurs bénévoles et la générosité des amis des animaux.

Si votre raison est capable de rejoindre votre coeur, alors aidez la Fondation 30 Millions d’Amis, même avec un don très modeste en suivant ce lien : ici

Si vous aimez cet article, partagez le !

REVOILÀ SEPTEMBRE !

Etrangement je n’ai jamais trop aimé le mois de Septembre.

Plus jeune il était le signal pour moi d’une proche rentrée des classes, synonyme d’un cortège de nouvelles contraintes et je constatais avec beaucoup de regret que la chaleur et le soleil disparaissaient doucement tant en intensité qu’en durée pour laisser place à l’automne…

Bien que la rentrée des classes ne soit plus qu’un lointain souvenir, cette sorte de stress lié au mois de Septembre  ne s’est jamais vraiment estompée et je constate aujourd’hui qu’il y a des tas d’autres formes de rentrée à commencer par cette sournoise rentrée politique par exemple ! Et j’ai toujours beau m’accrocher désespérément aux derniers jours d’août, il y a toujours quelqu’un pour dire : « Tiens, les jours raccourcissent, on sent la fin d’été ! » Donc voilà… autant vous dire que j’aborde ce 1er Septembre avec un petit pincement au coeur !

En tout état de cause, le mois d’Octobre est plus franc. Il annonce tout de suite la couleur : on sait que les feuilles vont tomber, qu’il va falloir ressortir les écharpes et qu’un petit froid vif risque de faire son apparition. Mais au moins on est prévenu, on va vers l’hiver et on le sait.

En cette fin d’été, la lumière dorée et chatoyante va parer les arbres de la propriété, nos Liquidambar et nos Erables du Japon vont adopter des couleurs aux variations toutes aussi spectaculaires les unes que les autres, nous allons renouer avec le nourrissage régulier de nos petits amis (oiseaux de la Nature et hérissons), le soleil va jouer avec toutes les teintes de l’orangé, les mûriers des bois et de notre verger vont rassasier notre éternelle gourmandise du sucré, nous allons cueillir les noisettes au bord des chemins tandis que nous allons observer les charmilles qui constituent nos haies se préparer délicatement à la marcescence (caractérise l’état d’un arbre ou d’un arbuste qui conserve ses feuilles mortes attachées aux branches durant la saison de repos végétatif, les feuilles ne tombant que lors de la repousse des nouvelles – au printemps ou au début de la saison des pluies)…

Tout ceux et celles qui profitent du Relais du Vert Bois en cette fin de saison reconnaissent unanimement qu’il y a moult raisons d’apprécier Septembre en Normandie (celles décrites ci-dessus ne sont pas limitatives !), mais voilà… je ne me résous toujours pas à devoir bientôt quitter l’été qui se terminera astronomiquement parlant à l’équinoxe d’automne prévu cette année le 22 septembre 2012 à 14h49 exactement ! 

Si vous aimez cet article, partagez le !

COLCHIQUES DANS LES PRÉS

Retour en Normandie après un aller-retour de 72 h à New-York et comme d’habitude rien de mieux qu’une petite promenade en forêt avec les chiens pour combattre efficacement le décalage horaire.

Au détour du sous-bois et à l’approche d’un minuscule pré, rencontre nez à nez avec ce que je croyais être à première vue un crocus mais non ! Finalement il faut se rendre à l’évidence que les Colchique pointent le bout de leur nez… Autrement dit, l’été est encore là pour au moins 3 semaines, mais l’automne s’approche doucement !

Vous rappelez-vous de cette chanson que l’on apprenait à l’école lorsque nous étions enfants (disponible ici) : « Colchiques dans les prés fleurissent, fleurissent…Colchiques dans les prés c’est la fin de l’été…La feuille d’automne emportée par le vent… » 

Naissant d’un bulbe souterrain souvent dans les prés humides, le Colchique d’Automne est une fleur de couleur lilas qui éclôt lorsque les autres fleurs commencent à faner. En Normandie, on la surnomme « tue-chien » car la belle recèle un alcaloïde mortel appelé « colchicine » dont le nom vient d’ailleurs de Colchide, pays de la magicienne empoisonneuse Médée.

Jolie donc, mais dangereuse comme un certain nombre d’autres plantes à ne pas prendre à la légère !

Chez l’être humain, l’ingestion provoque des troubles à partir de 10 mg, mortelle à partir de 40 mg ! Et il arrive fréquemment au bétail d’être intoxiqué. La colchicine, bien qu’utilisée en thérapeutique est un poison bloquant la division cellulaire. L’intoxication par ingestion se manifeste par des troubles digestifs violents, des troubles sanguins et neurologiques.

Je me rappelle que le poète Guillaume Apollinaire avait consacré un bien mystérieux poème au colchique, métaphore de l’amour vécu comme une éternelle souffrance, comme un véritable… poison !

Si vous aimez cet article, partagez le !

ÉVITER LES FEUX DE FORÊT

Avec la sécheresse qui touche de nombreux endroits de la planète, le feu de forêt est l’une des conséquences capable d’engendrer la destruction durable des espaces naturels…

L’impact environnemental d’un feu peut également être considérable. Les feux de forêts sont à l’origine d’une pollution de l’air, de l’eau et des sols. Aux modifications de paysage, s’ajoutent la destruction de milieux qui s’accompagnent de pertes biologiques (faune et flore habituelles des zones boisées), la perte de qualité des sols et le risque important d’érosion, consécutif à l’augmentation du ruissellement sur un sol dénudé.

Avec 15 millions d’hectares de forêts, soit un peu plus du quart du territoire national, la France se place au troisième rang des pays les plus boisés de l’Union Européenne. Mais cette richesse naturelle, à laquelle vient s’ajouter l’importante diversité des zones forestières françaises constituées de 136 essences d’arbres différentes, rend le territoire plus vulnérable aux incendies.

En France, c’est environ « 5000 départs de feu surviennent chaque année », indique l’Office national des forêts sur son site internet. L’homme en est à l’origine dans neuf cas sur dix. Contrairement à l’idée trop souvent admise comme vérité, les incendies ne sont pas l’exclusivité des pyromanes. Une fois sur deux, l’imprudence est responsable d’un de départ de feu (barbecue, mégot de cigarette, feu d’écobuage).

Un départ de feu nécessite trois facteurs :
- du combustible (la végétation);
- de l’oxygène (présent dans l’air);
- une source de mise à feu (flamme, étincelle, foudre).

Plus le temps sera chaud, sec et venteux, plus la végétation sera sèche, plus le risques sera élevé. Les composantes du milieu naturel et les activités humaines au contact de la forêt peuvent être plus ou moins favorables à l’éclosion et la propagation des incendies de forêts

Respecter plusieurs précautions de bon sens lors de nos passages dans les massifs forestiers permettrait donc d’éviter bien des catastrophes. Pour rappel :

- Il est interdit de faire un feu à moins de 200 mètres d’une forêt, d’une lande ou du maquis.

- Il est très important de ne pas jeter de mégots de cigarette par la portière d’un véhicule, même s’ils vous paraissent éteints. La cigarette est d’ailleurs proscrite dans certaines zones, parfois uniquement à certaines périodes de l’année. On le sait moins, mais lors des stationnements sur les bas côtés de la route, le pot catalytique extrêmement chaud (entre 400 et 800 degrés selon les versions) peut enflammer les herbes sous le véhicule.

- Ne pas laisser de bouteilles vides ou de détritus. Une bouteille en verre ou des éclats de verre pourrait jouer l’effet de loupe / lentille sous l’action concentrée des rayons du soleil, tandis que des détritus pourraient jouer le rôle d’activateur de combustion…

Et en cas de départ de feu, la première des actions est de prévenir les pompiers ou la gendarmerie en composant le 112, en précisant le lieu et si possible l’importance du sinistre. S’éloigner « dos au vent » de la zone le plus rapidement possible est le second conseil de bon sens…

Si vous aimez cet article, partagez le !

LE CORBEAU ET LE RENARD

Point de « Maître Corbeau sur un arbre perché » ce soir, mais plutôt, « Maître Papouf » (l’un de nos deux perroquets Gris du Gabon) perché sur une chaise du Salon de notre maison en train de surveiller non pas un renard mais notre (très) gentil Maine-Coon « Django »

Si vous aimez cet article, partagez le !

LA POMME À TOUTES LES SAUCES !

Point de Normandie sans pommes et pommiers !

Lors de votre prochain séjour au Relais du Vert Bois, allez donc rendre visite à Muriel et Thierry Hector qui dirigent les Vergers d’Houlbec-Cocherel (coordonnées ici). En fonction de la variété de pommes que l’on recherche – sucrée ou acidulée – Muriel et Thierry vous donneront de précieux conseils jusqu’à vous faire goûter les incroyables jus de pommes mêlées ou les onctueuses gelées de Reine de Reinette.

Et s’il est communément admis qu’il faut croquer une pomme par jour pour être en bonne santé (les Anglophones aiment à dire : « an apple a day keeps the doctor away »), il peut être tout aussi agréable d’un point de vue gustatif de la cuisiner !

Si les recettes sucrées telle que la compote, dans lesquelles la variété fait le goût, tartes et salades de fruits sont connues, les recettes salées le sont moins…

Muriel vous suggéra par exemple la pomme au chèvre frais accompagnée d’une salade verte. Rien de plus simple : de retour au Relais du Vert Bois il vous suffira d’éplucher et de couper quelques pommes en deux, de creuser grossièrement chaque partie avant d’y placer une rondelle de chèvre frais, d’y ajouter quelques herbes de Provence ainsi qu’un filet d’huile d’olive. Passage au four une vingtaine de minutes avant de servir !

La cueillette au verger peut se faire tous les samedis, dimanches et mercredis de 10h à 12h puis de 14h à 18h. A noter que les vergers d’Houlbec-Cocherel sont également caractérisés par de très belles variétés de…poiriers !

Si vous aimez cet article, partagez le !