Vous l’avez plus que certainement compris depuis que notre blog existe et qu’il vous fait partager les petits bonheurs de notre vie au Relais du Vert Bois : nous vivons au milieu de bon nombre d’amis à deux et quatre pattes que nous aimons autant que nous protégeons !
Notre action au quotidien est par essence même individuelle. En revanche et à plus grande échelle, la Fondation 30 Millions d’Amis soutient un nombre important de refuges qui recueillent chaque année – dans les meilleures conditions possibles – les animaux abandonnés.
Cette année, les généreux donateurs qui ont aidé la Fondation 30 Millions d’Amis ont rendu possible une aide de plus d’1 Million d’Euros à quelques 205 refuges français. Ce sont respectivement 361 431 et 535 500 Euros qui ont permis la livraison de près de 170 tonnes de nourriture et la stérilisation / vaccination.
859 niches neuves ont été fournies par la Fondation pour offrir tout le confort aux animaux dans l’attente d’une adoption tandis que le restant des dons a été ventilé dans la réfection de certains refuges, la création d’infirmeries et bien sûr les frais vétérinaires.
Tous les refuges aidés par la Fondation 30 Millions d’Amis font l’objet d’une étude approfondie. La Fondation 30 Millions d’Amis n’accorde jamais aucun prêt et n’effectue aucun don en numéraire. Ses aides sont proposées sous forme de livraison de palettes de nourriture, de règlement de factures de soins directement aux vétérinaires, de financement de travaux. La Direction des Services Vétérinaires et les vétérinaires intervenant au refuge sont systématiquement consultés au cours de l’enquête préalable à l’attribution de l’aide.
Parce qu’ils accueillent généreusement nos compagnons à quatre pattes, les refuges sont indispensables. Malheureusement, ils ne perçoivent aucune ressource, ni subvention publique. Pour survivre, ils ne peuvent compter que sur leurs bénévoles et la générosité des amis des animaux.
Si votre raison est capable de rejoindre votre coeur, alors aidez la Fondation 30 Millions d’Amis, même avec un don très modeste en suivant ce lien : ici
Après trente années passées à sillonner le monde, le photographe animalier Art Wolfe a ouvert ses archives pour construire un ouvrage autour de ses plus belles images en provenance de tous les continents
Ses 30 ans de carrière l’ont amené à des centaines d’endroits autour du monde, sur tous les continents. Après avoir publié 60 ouvrages (seulement 3 traduits en français !) et plus d’un million de photographies, Art Wolfe dévoile dans « Regard Sauvage » quelques unes de ses réflexions tout en racontant de nombreuses anecdotes sur des situations insolites auxquelles il a été confronté.
Comme par exemple ses longues promenades avec les manchots royaux, sa rencontre avec un lion ou encore la fois où il s’est retrouvé coincé sous un bébé éléphant de mer (la première de couverture de l’ouvrage).
« Regard Sauvage » est un livre somptueux de plus de 200 pages que j’ai particulièrement apprécié et qui rend hommage à l’immense variété de la vie sur notre planète. Un véritable hymne à la beauté animale avec tout ce qu’elle peut offrir de plus beau, surprenant et émouvant !
Depuis de nombreuses années, l’Aquarium La Rochelle développe un programme d’observations et de soins en faveur des tortues marines soutenu par le Ministère de l’Ecologie, de l’Energie du Développement Durable et de la Mer, et qui s’inscrit dans le cadre d’un programme national dont l’objectif est le suivi de ces animaux protégés.
Soignées depuis plusieurs mois par le Centre d’Etudes et de Soins pour les Tortues Marines de l’Aquarium La Rochelle, Domino et Opale les deux tortues caouannes ainsi que Danaé et Delta les deux tortues de Kemp ont retrouvé l’Océan avec allégresse en Juillet dernier sur une plage de l’Ile de Ré.
Au rendez-vous, plus de 1.000 personnes ont pu assister à cet émouvant départ et applaudir chacune d’elles.
Trois d’entre elles sont munies d’une balise Argos, permettant de les localiser et de récupérer ainsi de précieuses données.
Vous pouvez suivre la progression , en suivant ce lien : ici
Point de « Maître Corbeau sur un arbre perché » ce soir, mais plutôt, « Maître Papouf » (l’un de nos deux perroquets Gris du Gabon) perché sur une chaise du Salon de notre maison en train de surveiller non pas un renard mais notre (très) gentil Maine-Coon « Django »…
Voilà le genre de promenade qui ravit les petits visiteurs du Relais du Vert Bois !
Henkidou, notre falabella de 4 ans est un incroyable cheval miniature, capable de toutes les espiègleries mais aussi d’être un vaillant petit meneur d’attelage…
Le fidèle Cachou, notre gentil chien Beauceron de 5 ans, ouvre toujours la route tandis que Sorbonnou – notre Labrador – trop âgé pour aller gambader, garde la maison !
Au fait…qui est le plus grand ? Henkidou ou Cachou ? Et la plus heureuse sur cette photo ? Sans aucun doute mon épouse Charlotte !
L’Australie vient d’annoncer la création d’un réseau de parcs marins sur plus d’un tiers de ses eaux territoriales, soit une surface de… 3,1 millions de km2 ! Il s’agira ni plus ni moins que du plus grand parc marin au monde.
Face aux nombreuses menaces, il permettra de trouver un équilibre entre conservation de la nature et exploitation durable des ressources naturelles.
Le joyau principal est le parc marin de la Mer de Corail, adjacent au parc marin de la Grande Barrière de Corail. Cette dernière, déjà classée au Patrimoine mondial de l’UNESCO, abrite une biodiversité marine d’une richesse incomparable – quatre cents espèces de coraux, mille cinq-cents espèces de poissons (baleines, dauphins, thons, marlins et requins pour ne citer qu’eux) et quatre mille espèces de mollusques – et de nombreux animaux menacés comme diverses espèces de tortues.
Je vous ai plusieurs fois parlé de Django, notre génial chat Maine-Coon, qui tient compagnie à notre tout aussi géniale « Minette ».
Et bien voici Django tranquillement installé sur la (grande) volière de nos perroquets Gris du Gabon « Papou » et « La Miss ». On pourrait penser qu’un fort antagonisme – quelque peu naturel – sépare nos deux chats de nos deux perroquets…Il n’en est rien ! Une relative proximité les caractérisent, sans jalousie caractérisée…
Un patient travail d’imprégnation est réalisé par mon épouse Charlotte et moi-même, comme nous le faisons pour chacun des animaux du Relais du Vert Bois.
La British Birdwatching Birdfair, qui se tient chaque année en août depuis 1989 près de la Rutland Water Nature Reserve à Egleton (Grande-Bretagne), est considérée comme l’un des principaux événements ornithologiques mondiaux : elle attire des milliers de visiteurs, les principaux intervenants du monde du « birdwaching » s’y réunissent, et des centaines de milliers de livres sterling y sont collectées pour la protection des oiseaux.
D’autres pays ont depuis créé des rassemblements sur ce modèle, mais ce n’était pas encore le cas de la France : mais à l’occasion de son centenaire, la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) a décidé d’organiser du 21 au 23 septembre 2012 en partenariat avec la ville de Paimboeuf (Loire-Atlantique) la première édition du Festival « Birdfair » »de l’oiseau au tourisme nature ».
Le Festival Birdfair, c’est d’abord une fête pour tous pendant une période idéale de début de migration des oiseaux dans un lieu magique.
Tout au long du festival, de nombreuses conférences, un forum, des animations pour les enfants et pour le grand public, de nombreuses sorties nature (à pied, en bateau, et en mini-bus), des dédicaces et des rencontres avec des auteurs ou des artistes naturalistes, des expositions, des concerts de groupes éclectiques…
Vivre la nature, c’est le credo connu des scouts ou guides de France !
Alors lorsque ceux-ci font partager leur expérience pédagogique et leur savoir-faire naturaliste, cela donne un petit guide intitulé « Carnet Nature » formidablement documenté et illustré, d’un format quasi idéal pour glisser dans un petit sac à dos.
Comment reconnaître une chouette effraie ou un paillon apollon ? Quel est ce petit rapace à l’oeil perçant à l’affût sur un piquet ? Comment calculer l’âge d’un arbre ou s’orienter en montagne ? De quelle plante ces graines « volantes » se sont-elles échappées ? Quel est donc cet arbre qui nous offre une si belle ombre ?
On y retrouve 200 espèces communes, animales et végétales, classées par milieu. Pour chacune, une illustration, une fiche d’identité et un court texte qui met en valeur un signe particulier ou une anecdote pour aider à la mémorisation.
Enfin, le « Carnet Nature » propose une vingtaine d’activités de terrain, comme réaliser un croquis d’oiseau, un cadran solaire ou encore un inventaire marin. A noter, que la géologie et l’astronomie n’ont pas été oubliées.
Le bouton-d’or est le nom commun donné aux renoncules, mot issu du latin « ranunculus » qui signifie « petite grenouille » car cette fleur pousse plutôt dans les milieux humides et les sols argileux.
La famille du bouton d’or se compose d’environ 60 genres dans le monde entier, comprenant plus de 2 000 espèces !
Vivace et très résistante, elle est mal perçue des agriculteurs en raison de sa toxicité pour les animaux de pâturages. Bien que nos chevaux, ânes, lamas, chèvres et moutons fassent un tri particulièrement consciencieux, nous procédons à un chaulage sélectif des parcelles après en avoir éloigner nos amis à quatre pattes pendant au moins 4 semaines.
Comme nous n’utilisons aucune forme de désherbant au Relais du Vert Bois, nous sommes également obligés de faucher nos prairies au moins trois fois entre le début du printemps et la fin de l’été, et ce afin de limiter toute forme de multiplication du bouton d’or…